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Découvrez notre Comité international!

La Soirée conférence internationale, vous connaissez? Cet événement où vous avez la chance de rencontrer trois panélistes qui parlent de leur parcours à l'international, des anecdotes et des enjeux rencontrés est organisé par le Comité international sous la présidence d'honneur de Martin Thériault de chez Eddyfi. Pour vous permettre d'en apprendre davantage sur les membres de ce comité, nous les avons questionné à tour de rôle sur leurs motivations, leur parcours et sur leurs intérêts.

Les membres du Comité international

  • Pascale Morin, Directrice du comité, Hilton Québec
  • Antoine Cauchon, Missions commerciales de l'Université Laval
  • Alexann McCutcheon, Québec International
  • Élisabeth Ste-Marie, Robotiq


Jeune Chambre de commerce de Québec : Quels sont vos emplois respectifs?

Pascale : Je suis directrice adjointe des services congrès au Hilton Québec depuis presque huit ans. En bref, je m'occupe de la logistique (préparation, exécution et suivis) des congrès (bloc de chambres, accueil des VIP, montage des salles, fonctions alimentaires, etc.).

Antoine : Je travaille pour les Missions commerciales de l’Université Laval, un OBNL qui offre aux entreprises québécoises des services de développement de marchés extérieurs. Nous formons nos étudiants en commerce international pour que ceux-ci démarchent des entreprises et en représentent éventuellement chacun une sur un marché à l’étranger. Nous voulons mettre en place un réseau d’universités offrant cette formation aux étudiants et ce service aux entreprises, je travaille donc à développer ce concept à l’international.

Alexann : Je travaille chez Québec International, l’agence de développement économique de la région métropolitaine de Québec! Je suis chargée de projets dans l’équipe de développement des marchés extérieurs et mon rôle est d’accompagner les entreprises de notre région dans leurs différents projets d’exportations.

Parlez-nous de votre intérêt et de votre expérience à l'international?

Alexann : L’international m’a toujours semblé primordial. Il m’était impossible de choisir un champ d’études ou une carrière qui n’avait pas une tangente internationale. J’aime développer mes aptitudes interculturelles et je crois qu’elles sont nécessaires dans notre monde globalisé. Selon moi, la meilleure façon de développer ses aptitudes est de partir à la découverte des différences, d’ouvrir son esprit et de réaliser que plusieurs personnes vivent bien différemment de nous.

Pascale : Je travaille présentement avec une clientèle locale et internationale au sein d’une entreprise internationale. J’effectue aussi un baccalauréat à temps partiel en administration des affaires, profil gestion internationale. J’ai une grande ouverture sur le monde et un intérêt pour les langues et pour les autres cultures. Il y a tellement à apprendre et à partager lorsqu’on ouvre ses horizons. De plus, j’ai toujours eu la bougeotte! Je suis d’ailleurs allée vivre un an en Nouvelle-Zélande il y a quelques années.

Antoine : J’aime apprendre à connaître d’autres cultures et je pense que travailler et luncher avec des gens de l’étranger est le meilleur moyen de connaître leur quotidien, leurs motivations, leur façon d’interagir, l’impact qu’a la sphère politique sur leurs vies, etc. En retour, cette curiosité combinée avec ma facilité d’adaptation et ma fluidité avec les langues me permet de connecter facilement avec des interlocuteurs de partout et d’avancer sur des projets communs.

Est-ce que l'un d'entre vous pourrait expliquer quelle est la mission du Comité international?

Alexann : Nous devons promouvoir l’international auprès des membres de la JCCQ. Nous le faisons en démontrant aux jeunes professionnels l’importance d’amorcer une réflexion sur cette dimension puisque les risques d’y être confrontés sont très élevés. C’est un sujet complexe et nous avons la chance de bénéficier d’un réseau d’entrepreneurs et de professionnels incroyables ayant des expériences enrichissantes à l'international qui sont prêts à partager leurs astuces, leurs bons coups et même leurs moins bons coups.

Concrètement, comment votre apport se matérialise au sein de la JCCQ?

Pascale : Nous organisons des activités dont la Soirée conférence internationale où des entrepreneurs et/ou gestionnaires d’entreprises fondées dans la région et qui ont internationalisé leurs opérations viennent nous parler de leur expérience. Cette année, la soirée aura lieu le 11 avril prochain et nous avons hâte de vous révéler qui seront les panélistes de cette édition!

Qu'est-ce qui vous marque le plus lorsque vous voyagez par affaires ou par plaisir?

Antoine : Pour ma part, je dirais que la nourriture et la musique me marquent beaucoup! Ce qu’on mange et comment on le fait, tout comme la musique, reflètent les différents groupes d’une société, mais il est facile de connecter avec tout le monde sur ces deux points.

Pascale : De mon côté, étant une personne très « connectée » sur les gens, je serais portée à dire que ce sont les personnes que je rencontre qui me marquent le plus. Je suis beaucoup plus portée à être marquée par les rencontres que je fais que par des choses que je vois!

Maintenant, si demain matin nous vous donnons le choix entre faire le tour du monde en un an ou vivre dans votre pays de rêve pendant cinq ans, quel serait votre choix et pourquoi?

Alexann : Vivre dans mon pays de rêve pendant 5 ans sans aucun doute! Vivre longtemps dans un autre pays permet de découvrir et de comprendre la culture du pays de manière beaucoup plus profonde. Il faut également ajouter que de vivre dans mon pays de rêve ne m’empêcherait pas non plus de visiter un grand nombre de pays durant les 5 ans où j’y serais établie!

Pascale : Je crois que je choisirais de vivre dans un autre pays pendant cinq ans! Ce que j’aime des voyages et de l’international est de prendre le temps de découvrir de nouvelles cultures. J’aime prendre le temps de m’imprégner d’un pays, entrer en contact avec les gens de la place et vivre en communauté avec eux. Un tour du monde en un an ne me permettrait pas de faire ceci!

Antoine : Pour ma part, j'opterais plutôt pour faire le tour du monde pendant 1 an! Voyager m’a appris que j’aime être proche des miens et poursuivre des projets à long terme, ce qui ne me serait pas possible en étant 5 ans à un endroit. J’aime aussi changer d’endroit régulièrement et faire des liens entre les pays qui sont à proximité les uns des autres!

Est-ce que certains d'entre vous auraient une anecdote de voyage à nous raconter?

Antoine : Je suis allé à un concert de J Balvin à Medellin, le chanteur de l’heure en Colombie. J’étais surpris que le concert soit au milieu de l’après-midi, puisque c’est un chanteur de reggaeton dont la musique est pour le moins grivoise. J’ai vite compris que c’était un concert destiné aux adolescents accompagnés par leurs parents. Les deux heures de hurlements continus de 10 000 filles de 12 ans me hantent encore.

Alexann : Lorsque j’étais en Inde, se familiariser avec le fameux «Indian nod» a été un défi en soi! Pourtant, c’est un geste commun en Inde, mais pour nous les Québécois, c’est quelque chose de totalement différent! Ce type d’élément culturel est important à connaître à l’avance afin de faciliter un voyage, que ce soit un voyage pour affaires ou par plaisir!

En terminant, tous les membres du comité s'entendent pour dire que vous ne devriez pas manquer la Soirée conférence internationale! Restez à l'affût des prochaines annonces sur nos réseaux!

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